Huitième et dernier volume de la série, qui parait demain et que certains ont déjà acheté (pas encore pour ma part) : n'hésitez pas à poster votre avis si vous l'avez déjà lu!
Huitième et dernier volume de la série, qui parait demain et que certains ont déjà acheté (pas encore pour ma part) : n'hésitez pas à poster votre avis si vous l'avez déjà lu!
Bon, c'est parti alors
Je suppose que vous allez lire mon post demain
Je suppose que vous allez lire mon post demain
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Ma réaction à chaud (je commenterai ton message demain Raimaru, je manque de temps là) : excellent volume, une très belle conclusion pour l'histoire, et tous les points sont éclaircis!
En tout cas maintenant je vais pouvoir lire le récit de Tezuka, je suis curieux de voir dans quelle mesure cette fin respecte le dénouement original. La postface de Nagasaki sur le sujet du message que voulait transmettre Tezuka est d'ailleurs très intéressante et permet de mieux appréhender le tout.
Bref, à chaud, je suis vraiment conquis par cette fin, maintenant une relecture de tous les tomes me permettra de mieux saisir les points qui m'échappent et d'apprécier le manga dans sa globalité. Mais clairement je range cette fin au niveau de celle de Monster
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Bref, à chaud, je suis vraiment conquis par cette fin, maintenant une relecture de tous les tomes me permettra de mieux saisir les points qui m'échappent et d'apprécier le manga dans sa globalité. Mais clairement je range cette fin au niveau de celle de Monster
Ca se tient, mais ce qui m'a surpris c'est queSpoiler : :Spoiler : :
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Je suis vraiment sous le charme de ce tome. Il conclut de fort belle manière la série. Bon puisque vous avez déjà tout dit, je vais revenir sur vos propos:
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En tout cas maintenant je vais pouvoir lire le récit de Tezuka, je suis curieux de voir dans quelle mesure cette fin respecte le dénouement original. La postface de Nagasaki sur le sujet du message que voulait transmettre Tezuka est d'ailleurs très intéressante et permet de mieux appréhender le tout.Tout pareil !
Bref, à chaud, je suis vraiment conquis par cette fin, maintenant une relecture de tous les tomes me permettra de mieux saisir les points qui m'échappent et d'apprécier le manga dans sa globalité. Mais clairement je range cette fin au niveau de celle de Monster
Excellent volume, clairement !
Bref, chapeau à Urasawa, j'ai adoré ce tome, qui ne fait que confirmer la qualité générale de la série Plus qu'à lire le récit original de Tezuka, maintenant !
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Hier, j'ai "prit" ma journée pour lire à la suite les 8 tomes de Pluto.
Je dois avouer que contrairement a pas mal d'entre vous je suis assez déçu par cette série, je la trouve bien en dessous de Monster et de 20th.
Je dois avouer que contrairement a pas mal d'entre vous je suis assez déçu par cette série, je la trouve bien en dessous de Monster et de 20th.
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Satie et Jojo >
MangaMonster, pour répondre à tes questions point par point :
Voilà je sais pas si tout est clair, et c'est que mon interprétation mais j'espère que ces réponse t'ont aidé.
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Cf plus haut, je cherche encore à savoir qui c'est (je vois qu'une "erreur" dans l'intrigue pour l'instant).Spoiler : :
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Juste un serviteur sans importance en effet, un second rôle de sous fifre.Spoiler : :
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Spoiler : Drucci :
Spoiler : jojo :
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MangaMonster >
Jojo >
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Enfin lu, ce tome final ! Et quel tome !!!
Pluto 8
Alors qu'Epsilon vient à son tour de se faire éliminer, Pluto est arrivé au bout de sa mission d'éradication de ses adversaires. Dans l'ombre, le président Alexander et le professeur Roosevelt se frottent les mains, tandis que la fin de l'humanité est en approche, signant l'imminence de l'ère des robots. Le dernier espoir des Hommes réside dans le réveil soudain d'Astro, revenu à la vie après que le docteur Tenma lui ait injecté les dernières émotions de Gesicht. Naitra-t-il de cette résurrection une nouvelle créature emplie de rancune et de haine ?
Nous y voilà ! Après un an et demi de parution en France, voici déjà la conclusion de Pluto, avec ce huitième volume s'offrant le luxe d'une sortie pendant la douzième édition de la Japan Expo. Les adeptes de Naoki Urasawa savent déjà que ses ultimes épisodes sont aussi attendues que redoutées : après la fin ouverte de Monster, et celle tant décriée de 20th Century Boys, qu'en sera-t-il ici ? La relative épaisseur du volume laisse présager une réponse assez positive, d'autant que l'on imagine mal l'auteur faire l'affront d'un achèvement bâclé à Tezuka Productions, supervisant le projet de bout en bout. Mais, trêve d'hypothèse, il est temps de passer au cœur du sujet !
Si la série reste l'une des plus courtes de l'auteur, Urasawa a néanmoins eu le temps de développer de nombreuses au fil des sept premiers volumes, tant et si bien qu'il semblait difficile de tout réagencer... Soyez rassurés : le mangaka se veut particulièrement explicatif et dénouera une à une les différentes énigmes restantes, tout en explicitant les théories en suspens et sur lesquels le lecteur se sera fait un avis, comme par exemple autour de l'identité d'Abullah. On regrettera en revanche que d'autres énigmes retombent, comme un soufflé, notamment la fameuse réplique "500 Zeus par corps" qui trouve une explication bien trop anodine. Il n'y aura au final que sur les personnages inédits par rapport au récit original de Tezuka que quelques questions resteront en suspens.
Urasawa a réussi à respecter la trame scénaristique et le message de la scène finale du Robot le plus fort du monde, en incorporant cependant des éléments qu'on lui connait. Le climat de fin du monde et l'évocation d'une bombe à anti-protons rappelleront 20th Century Boys, mais permettent de faire rentrer l'intrigue dans un véritable compte à rebours mortel entrainant le lecteur avec lui. Bien qu'épais, le volume se lit avec une certaine aisance, porté par l'optique du combat final entre Astro et Pluto, tous deux à présent égaux dans leur dilemme entre amour et haine. Leur affrontement ne trahit pas les attentes, jusqu'à un climax particulièrement réussi. L'auteur n'en oublie pas pourtant Gesicht, qui a été son héros principal pendant les trois quarts de la série, au travers de quelques flashbacks apaisant, comme si la conscience d'Astro s'y raccrochait pour ne pas sombrer dans la colère. Les choses avancent certes sur un canevas assez linéaire, il n'y a plus énormément de surprises au rendez-vous, et pourtant ce dernier volume nous prend aux tripes jusqu'à sa dernière page... et plus si affinités !
Jusqu'au bout, nous aurons senti la volonté d'Urasawa de coller au récit lors de ses scènes-clés, et il est étonnant de voir à quel point le découpage des deux scènes finales est similaires. Si cette conclusion n'apportera que peu de surprises, on pourra néanmoins marquer ce jour d'une pierre blanche : oui, l'auteur peut réussir une fin de manière exhaustive et sans précipitation ! Le message d'espoir empreint de naïveté d'Osamu Tezuka est alors remis au goût du jour, tandis qu'Urasawa et Nagasaki ont réussi à intégrer des thématiques bien plus contemporaines. Malgré un univers très froid et gris, le message final apparaitra comme un phare dans l'obscurité, un message de paix et de respect entre les êtres. Seule cette force est capable de changer le destin, et de faire plier les dieux de la destruction !
Pluto 8
Alors qu'Epsilon vient à son tour de se faire éliminer, Pluto est arrivé au bout de sa mission d'éradication de ses adversaires. Dans l'ombre, le président Alexander et le professeur Roosevelt se frottent les mains, tandis que la fin de l'humanité est en approche, signant l'imminence de l'ère des robots. Le dernier espoir des Hommes réside dans le réveil soudain d'Astro, revenu à la vie après que le docteur Tenma lui ait injecté les dernières émotions de Gesicht. Naitra-t-il de cette résurrection une nouvelle créature emplie de rancune et de haine ?
Nous y voilà ! Après un an et demi de parution en France, voici déjà la conclusion de Pluto, avec ce huitième volume s'offrant le luxe d'une sortie pendant la douzième édition de la Japan Expo. Les adeptes de Naoki Urasawa savent déjà que ses ultimes épisodes sont aussi attendues que redoutées : après la fin ouverte de Monster, et celle tant décriée de 20th Century Boys, qu'en sera-t-il ici ? La relative épaisseur du volume laisse présager une réponse assez positive, d'autant que l'on imagine mal l'auteur faire l'affront d'un achèvement bâclé à Tezuka Productions, supervisant le projet de bout en bout. Mais, trêve d'hypothèse, il est temps de passer au cœur du sujet !
Si la série reste l'une des plus courtes de l'auteur, Urasawa a néanmoins eu le temps de développer de nombreuses au fil des sept premiers volumes, tant et si bien qu'il semblait difficile de tout réagencer... Soyez rassurés : le mangaka se veut particulièrement explicatif et dénouera une à une les différentes énigmes restantes, tout en explicitant les théories en suspens et sur lesquels le lecteur se sera fait un avis, comme par exemple autour de l'identité d'Abullah. On regrettera en revanche que d'autres énigmes retombent, comme un soufflé, notamment la fameuse réplique "500 Zeus par corps" qui trouve une explication bien trop anodine. Il n'y aura au final que sur les personnages inédits par rapport au récit original de Tezuka que quelques questions resteront en suspens.
Urasawa a réussi à respecter la trame scénaristique et le message de la scène finale du Robot le plus fort du monde, en incorporant cependant des éléments qu'on lui connait. Le climat de fin du monde et l'évocation d'une bombe à anti-protons rappelleront 20th Century Boys, mais permettent de faire rentrer l'intrigue dans un véritable compte à rebours mortel entrainant le lecteur avec lui. Bien qu'épais, le volume se lit avec une certaine aisance, porté par l'optique du combat final entre Astro et Pluto, tous deux à présent égaux dans leur dilemme entre amour et haine. Leur affrontement ne trahit pas les attentes, jusqu'à un climax particulièrement réussi. L'auteur n'en oublie pas pourtant Gesicht, qui a été son héros principal pendant les trois quarts de la série, au travers de quelques flashbacks apaisant, comme si la conscience d'Astro s'y raccrochait pour ne pas sombrer dans la colère. Les choses avancent certes sur un canevas assez linéaire, il n'y a plus énormément de surprises au rendez-vous, et pourtant ce dernier volume nous prend aux tripes jusqu'à sa dernière page... et plus si affinités !
Jusqu'au bout, nous aurons senti la volonté d'Urasawa de coller au récit lors de ses scènes-clés, et il est étonnant de voir à quel point le découpage des deux scènes finales est similaires. Si cette conclusion n'apportera que peu de surprises, on pourra néanmoins marquer ce jour d'une pierre blanche : oui, l'auteur peut réussir une fin de manière exhaustive et sans précipitation ! Le message d'espoir empreint de naïveté d'Osamu Tezuka est alors remis au goût du jour, tandis qu'Urasawa et Nagasaki ont réussi à intégrer des thématiques bien plus contemporaines. Malgré un univers très froid et gris, le message final apparaitra comme un phare dans l'obscurité, un message de paix et de respect entre les êtres. Seule cette force est capable de changer le destin, et de faire plier les dieux de la destruction !
Enfin lu, ce tome final ! Et quel tome !!!Très bon avis, et sans spoil, j'y adhère parfaitement.
Pluto 8
Alors qu'Epsilon vient à son tour de se faire éliminer, Pluto est arrivé au bout de sa mission d'éradication de ses adversaires. Dans l'ombre, le président Alexander et le professeur Roosevelt se frottent les mains, tandis que la fin de l'humanité est en approche, signant l'imminence de l'ère des robots. Le dernier espoir des Hommes réside dans le réveil soudain d'Astro, revenu à la vie après que le docteur Tenma lui ait injecté les dernières émotions de Gesicht. Naitra-t-il de cette résurrection une nouvelle créature emplie de rancune et de haine ?
Nous y voilà ! Après un an et demi de parution en France, voici déjà la conclusion de Pluto, avec ce huitième volume s'offrant le luxe d'une sortie pendant la douzième édition de la Japan Expo. Les adeptes de Naoki Urasawa savent déjà que ses ultimes épisodes sont aussi attendues que redoutées : après la fin ouverte de Monster, et celle tant décriée de 20th Century Boys, qu'en sera-t-il ici ? La relative épaisseur du volume laisse présager une réponse assez positive, d'autant que l'on imagine mal l'auteur faire l'affront d'un achèvement bâclé à Tezuka Productions, supervisant le projet de bout en bout. Mais, trêve d'hypothèse, il est temps de passer au cœur du sujet !
Si la série reste l'une des plus courtes de l'auteur, Urasawa a néanmoins eu le temps de développer de nombreuses au fil des sept premiers volumes, tant et si bien qu'il semblait difficile de tout réagencer... Soyez rassurés : le mangaka se veut particulièrement explicatif et dénouera une à une les différentes énigmes restantes, tout en explicitant les théories en suspens et sur lesquels le lecteur se sera fait un avis, comme par exemple autour de l'identité d'Abullah. On regrettera en revanche que d'autres énigmes retombent, comme un soufflé, notamment la fameuse réplique "500 Zeus par corps" qui trouve une explication bien trop anodine. Il n'y aura au final que sur les personnages inédits par rapport au récit original de Tezuka que quelques questions resteront en suspens.
Urasawa a réussi à respecter la trame scénaristique et le message de la scène finale du Robot le plus fort du monde, en incorporant cependant des éléments qu'on lui connait. Le climat de fin du monde et l'évocation d'une bombe à anti-protons rappelleront 20th Century Boys, mais permettent de faire rentrer l'intrigue dans un véritable compte à rebours mortel entrainant le lecteur avec lui. Bien qu'épais, le volume se lit avec une certaine aisance, porté par l'optique du combat final entre Astro et Pluto, tous deux à présent égaux dans leur dilemme entre amour et haine. Leur affrontement ne trahit pas les attentes, jusqu'à un climax particulièrement réussi. L'auteur n'en oublie pas pourtant Gesicht, qui a été son héros principal pendant les trois quarts de la série, au travers de quelques flashbacks apaisant, comme si la conscience d'Astro s'y raccrochait pour ne pas sombrer dans la colère. Les choses avancent certes sur un canevas assez linéaire, il n'y a plus énormément de surprises au rendez-vous, et pourtant ce dernier volume nous prend aux tripes jusqu'à sa dernière page... et plus si affinités !
Jusqu'au bout, nous aurons senti la volonté d'Urasawa de coller au récit lors de ses scènes-clés, et il est étonnant de voir à quel point le découpage des deux scènes finales est similaires. Si cette conclusion n'apportera que peu de surprises, on pourra néanmoins marquer ce jour d'une pierre blanche : oui, l'auteur peut réussir une fin de manière exhaustive et sans précipitation ! Le message d'espoir empreint de naïveté d'Osamu Tezuka est alors remis au goût du jour, tandis qu'Urasawa et Nagasaki ont réussi à intégrer des thématiques bien plus contemporaines. Malgré un univers très froid et gris, le message final apparaitra comme un phare dans l'obscurité, un message de paix et de respect entre les êtres. Seule cette force est capable de changer le destin, et de faire plier les dieux de la destruction !
J'ai beaucoup aimé cette fin, pleine de suspens, d'action et d'humanisme.
Urasawa a très bien réussi à moderniser l'histoire, surtout le contexte de la guerre.
Sur le message humaniste il le passe très bien sans faire niais, il nous laisse de beaux personnages de robots pour lesquels on éprouvent autant d'empathie que si ils avaient étés humains, c'est bien joué.
Bravo à ce Pluto!
Tout employé tend à atteindre son niveau d'incompétence.
Principe de Peter
Principe de Peter
Je viens de relire ce tome (mon avis est encore plus positif en ayant eu les idées plus claires à la relecture) et j'ai noté deux détails qui m'avaient échappé :
Sinon 14th tu l'as lu ce tome finalement ou pas? Je suis étonné de pas lire ton avis!
Spoiler : :
Tu m'intrigues là, j'ai hâte de connaitre ton avis en tout cas!
C'est marrant mais moi je prends pas mal votre contre pied sur
Spoiler : :
Spoiler : GoNY :